mardi 31 mars 2009

Fins de cycles.

* Des abonnements à supprimer (ça y est, divorce sûr et certain d'avec les Cahiers, à part l'interview du type des Sopranos et vite fait la chronique tellement trop courte de Nicole Brenez, le reste est du déjà mâché, déjà englouti en deux minutes montre en main), des considérations à reprendre, des affaires à vider, des choses à reprendre, du temps qui passe. C'est l'effet ménage de printemps, si on veut.

* Je pars du 4 au 12 chez Simon et Pablo, je sais pas trop ce que je fais de ce blog, il est possible qu'il change, un blog vidéo peut-être. Une série.

samedi 28 mars 2009

The monkeys cry their sorrow.

* La Maison Nucingen, l'adaptation de Balzac et d'Eliade, le nouveau Raoul Ruiz donc, qui sort le 3 juin prochain (merci L. pour l'info), ce ne serait pas un retitrage de Melle Christine? Pourtant les deux projets sont toujours dissociés sur lecinemaderaoulruiz.com...

* Parlant de Ruiz, j'ai récupéré, via Jake, un correspondant américain, le dernier épisode de Manoel dans l'île aux merveilles, le seul qui me manquait de la trilogie. Enfin, en théorie, puisque j'ai perdu la plupart de mes films avec mon disque dur externe. Mais quand même :




* Ne serait-ce que la musique de Jorge Arriagada et j'en frissonne déjà...

mercredi 25 mars 2009

En vert et contre #1

* Trouvées par hasard au milieu d'une série globalement carte-postalesque sur un blog nul, sans doute qu'elles sont banales, mais ces deux-là je les aime beaucoup (surtout la seconde) sans trop savoir pourquoi.





* Certaines autres photos d'animaux parfois sur ce même blog, à trier si on veut (bien sûr c'est très/trop appliqué, mais parfois quelque chose fait que...).

* Ça aère, non?

mardi 24 mars 2009

Glouglou.

* Je me noie dans le montage, c'est beaucoup trop énorme, c'est là que je mesure que je ne suis en la matière vraiment pas pro, mal organisé, pas assuré, etc, tout ça sera long, long, pfff qu'on est mieux dehors derrière une caméra que seul devant un écran d'ordi. Je suis un peu gêné vis-à-vis des ouvriers : combien de temps avant d'avoir un film finalisé à faire circuler, avec leur parole restituée? C'est que le temps tourne après le tournage, eux se foutent bien que mon montage soit long et ils ont raison, ils attendent bien quelque chose (pas le Pérou, on est d'accord, ils savent bien que ce n'est "qu'un film", mais plus je perds de temps plus je pense à eux, à mon engagement auprès d'eux).

* Vie de fantôme ces temps-ci. Rêves d'arbres. Heureusement abreuvé de lectures par L., bonnes et enthousiasmantes et comme des échappatoires (j'allais écrire "des dérogations").

* Récupéré 4 heures d'archives, qui plus est, qui viennent s'ajouter aux 34 heures de rushes déjà en stock, archives assez sublimes d'ailleurs, si l'on prend la peine régulièrement de couper le son. Ce sont des images tournées en je ne sais quel format, je ne saurais dire (hi-8?) en 1995, par un amateur anonyme dans Givet inondé. Le montage est assez beau, d'une poésie comme involontaire, il faut comme je dis couper le son lorsque ce sont des décors, parce qu'alors il faut supporter la b-o du Roi Lion et ce genre de choses, pour meubler, et je vous laisse imaginer ce que ça peut donner.

* Un léger balancement accompagne chaque plan, moi qui craignais la shaky-cam je suis surpris. Ce sont des plans larges, de situation, parfois accompagnés d'un zoom avant, on peut regarder longtemps sans se lasser, il y a la ville sous l'eau, il y a l'enfant au chien, il y a les militaires qui poussent les barques dans les rues brunes de flotte, il y a les pompiers sur la place, il y a les cygnes dans le square, la Cellatex immergée, les dossiers qui flottent, des réunions cette fois avec le son des salariés de la Cellatex s'inquiétant de l'avenir de la boîte, et puis la décrue, les lieux dévastés, les ouvriers prenant en charge la remise à flot si j'ose dire de l'usine foutue, etc, j'en passe, les captures d'écran ne rendent pas justice mais j'y tenais (VHS amateur vieille de quatorze ans numérisée, donc qualité technique de la copie forcément atroce).




































dimanche 22 mars 2009

Une mare.

* Lu sur le forum de fdc ceci, à propos d'Un lac : "Ce film n'est rien d'autre que le résultat de ce que LUI et LUI SEUL pense que son "public" attend depuis six ans et sa belle Vie nouvelle. Comme si l'idée de se risquer à ne serait-ce qu'un peu sortir de ses propres sentiers (cinéma de l'étouffement, la suffocation, où la parole, la communication fluide des humains apparaîtraient comme de vilaines impuretés), trouver en chaque nouveau film l'occasion d'accorder son style - effectivement (trop) unique - à son déséquilibre ne se posait jamais. D'ailleurs, y a-t-il pour lui un monde, une perspective hors de l'autisme ?"

* C'est assez juste. J'essaie d'en parler ici.

mardi 17 mars 2009

Donner des claques et violer des femmes.


(* Merci, L, pour la vidéo.)

* J'ajoute ce blog dans mes liens.

(* Bon et j'ai eu une bonne nouvelle dont je ne pourrai parler qu'en mai. Mais c'est vraiment une bonne nouvelle.)

lundi 16 mars 2009

samedi 14 mars 2009

Combat d'amour en songe.

* Découvert, sur ce site, pas mal de Ruiz que je n'avais pas vus, il y a notamment ses rarissimes et chiliens Dialogues d'Éxilés.

* Rien à voir, article salutaire.

jeudi 12 mars 2009

Naci del amor.

(* Morceaux de conversations avec L resamplés :)

* Vengo, de Tony Gatlif, film époustouflant, il y a vers le début un plan où Caco court le long du mur, remonte la pente le long de cette incroyable enceinte blanche, en fait ce sont deux plans, deux travellings extrêmement puissants, brefs, rapides, comme des chevaux au galop, pris en voiture depuis la route d'où ils téléphoneront plus tard, l'un s'éloigne de la muraille, l'autre s'en rapproche, il y a une énergie incroyable dans ce point de montage-là. Mise en scène bluffante, donc, où chaque plan est une surprise, chaque choix, à la limite, est pourrait-on dire outré, et pourtant toujours juste, car c'est un film crié, un film hurlé, où tout est mouvement, jusqu'à ce plan final, ce travelling nocturne sur une route de campagne, lancé à une vitesse époustouflante (je me répète), et pourtant même dans ce plan Gatlif coupe, même dans ce plan il monte alors qu'il pouvait laisser le plan-séquence, après tout, mais non même là on rogne sur la vitesse et sur le temps : c'est un film-cheval.

* J'ai pleuré au milieu, pas à la fin, lorsqu'on est dans le genre, le western, on est bouleversé, mais disons que c'est une convention, sans que ce soit négatif pour autant bien sûr, je veux dire que tout va vers cette fin, et que le plan du poignard est un vrai plan de genre, et qu'il est sublime.

* Ce qui me bouleverse aux larmes, c'est la relation avec le neveu. Il y a une scène très brève, d'amour complet, quand il explique qu'il aimait sa fille, c'est ici que je n'en pouvais plus.

* Vu le film par bout, ça me secouait trop.

* Songé à Dreyer, un peu, parfois, des plans de visages, oui, oui, j'exagère je m'en fous, lorsque le jeune avec plein de cheveux, là, comprend que Caco va en somme se suicider, ce plan-visage magnifique.

* Même le gag n'est jamais motivé par autre chose que l'amour, le gag du téléphone portable au milieu de la route par exemple, parce que c'est aussi un geste d'amour que d'arrêter ces voitures, avec tant de vigueur dans la course, et puis ce plan incroyable sur le portable brandi en l'air, cet insert grossier et sublime.

* Personne n'est à blâmer, en somme, c'est le genre qui veut ce qui se trame, ainsi malgré qu'on est au final au western, il n'y a pas de "bons" et de "méchants", parce qu'il y a la séquence du baptême, ne serait-ce qu'elle, parce qu'avant qu'ils arrivent au baptême, on est aussi au baptême, longtemps, et que tous sont aussi beaux qu'eux, dans leur douleur et dans leur joie et dans leur ivresse et dans leurs hurlements, ces chansons hurlées, on se dit que la séquence du restaurant avec les militaires, on n'a jamais vu un chant hurlé si juste, et puis qu'on ne peut pas davantage hurler en chantant, qu'on ne peut pas hurler plus fort, et pourtant au baptême, on hurle, on hurle, physiquement c'est presque insoutenable ; je veux dire ces cris, ce chant, ces mots qui sortent, c'est pire que cracher, que cracher un monstre ou un Alien (déglutition), c'est plus éprouvant physiquement encore qu'un accouchement.

* C'est fou parce qu'on se dit qu'on ne peut pas écrire un tel scénario, que c'est uniquement de la mise en scène, que les morceaux de scénario sont là pour tenir (et qu'encore une fois vive le cinéma de genre), qu'il s'agit donc là d'un vrai film d'amour, je n'ai l'impression de vivre qu'étant amoureux, on pourrait dire qu'être c'est être amoureux, vrai film d'amour, oui, d'où que c'est un fim hurlé, et d'impulsion (un film-cheval, je maintiens!).

* Le montage final sur les moteurs, est d'une sensualité...

(* Ah c'est autre chose que La Graine et le mulet quand même!)

* Il faut bien sûr lire ça.

mercredi 11 mars 2009

mardi 10 mars 2009

Au comble de la capitulation et de la servitude consentie, on parle de redressement moral et d'avenir régénéré.

* Sortant de là je repensais au mail récent d'un ami qui démarrait ainsi : "Moi ça va, j'ai passé une matinée extra, j'ai été aux Assedics avec ma fille, pour moi au mois de décembre j'ai travaillé 56h dans le mois donc ils m'ont retiré 256€ sur le chômage. Donc j'ai gagné 250€ en paye pour 56h de travail." Et puis à Badiou, aussi, au "deuxième critère du pétainisme", à savoir "le motif de la "crise", de la "crise morale", qui justifie les mesures prises au nom de la régénération. Il y a un abaissement national, une décadence menaçante, auquel on va immédiatement remédier. Cet abaissement (on aime dire aujourd'hui "ce déclin") est imputable à une crise morale : le discernement du bien et du mal, le travail, la famille, la patrie sont en crise. Puisque cette crise est morale, le redressement ne suppose d'aucune façon une mobilisation politique des gens, mobilisation dont on va au contraire se garder le plus efficacement qu'on pourra, avec de draconiennes mesures de police. La morale vient là, comme elle fait toujours, à la place de la politique, et contre la politique, tout spécialement la politique faite directement par les gens du peuple. On va en appeler au redressement moral, au travail, à l'économie familiale, terminologie exactement pétainiste, qui permet de dire que l'État, lui, est chargé de tout, puisque les gens sont en état de crise morale. Dans les ténèbres de la crise, il faut seulement honorer les individus qui font, à l'appel de l'État et de son chef, de méritoires efforts contre le déclin. Par exemple en se faisant une joie de travailler soixante heures par semaine. Ceux-là, on leur donnera une médaille en chocolat. Comme ne cesse de le dire l'homme aux rats, il faut "récompenser le mérite".
(...)
C'est que le but de la moralisation est en réalité politique. Il s'agit de dire que l'état du pays n'est aucunement le résultat de l'action des grands serviteurs du capital et de leur clientèle médiatique et politicienne, mais la faute des gens, de la "moralité" des citoyens quelconques.
(...)
La crise morale c'est toujours un énoncé qui vise à donner les pleins pouvoirs à l'Etat, en arguant de l'irresponsabilité des gouvernés, notamment des plus démunis et des plus faibles.
(...)
C'est tout ce qui restera de ce fatras moralisant : police, justice, contrôle, expulsions, lois scélérates et système pénitentiaire. Avec, bien entendu, l'enrichissement des riches, qui est le Bien par excellence
".

* De tout cela me tartina donc substantiellement ma conseillère ANPE Spectacle que je rencontrais pour la première fois aujourd'hui, et qui eut tôt fait de me faire comprendre que le spectacle était surtout dans son bureau. Il y eut cette moralisation-là, il fallait bien reconnaître que l'art ne servait à rien, que c'était une lubie, des "petits projets", des "petites choses", "croyez-vous vraiment que le contribuable doit payer pour vos petits projets?", nausée, nausée, j'aurais dû répondre simplement "oui", "oui je le crois", j'ai plutôt dit "ce n'est pas comme si c'était une fortune" et ce fut la thune de trop dans le bastringue qui enchaîna la loghorrée haineuse et les menaces.

* Pot-pourri :

  • "Avec 17h de McDo vous gagnez la même chose qu'avec le RMI, alors vos petits projets, là, vous pourrez toujours les faire, et là vous le mériterez"
  • "Vous savez, le RMI, je ne comprends vraiment pas à quoi ça sert, à mon avis on devrait à la rigueur le donner pendant 3 mois, maximum"
  • "Après sinon, les gens se rétrécissent"
  • "Si vous touchiez des allocations Assedics, là, non, je ne vous embêterais pas : vous les auriez méritées, au moins"
  • "Il y a des gens qui touchent le RMI depuis 10 ans, je vois bien qu'ils ne font rien, alors que 17h de McDo, c'est la même somme"
* Les "17 heures de McDo" sont revenues souvent dans la conversation, c'était un chiffre brandit à bout de bras, avec fierté, c'était le résultat de son calcul, et c'était sa solution à tout. L'ANPE Spectacle, vraiment?

* - "Vous vous fixez quoi comme échéance pour gagner votre vie avec vos petits films, là?"
- "Je ne sais pas, j'attends des réponses de commissions, les choses fonctionnent comme ça, j'attends des choses très bientôt d'ailleurs."
- "Oui donc si vous ne vous fixez pas d'échéance, je vous en fixe une pour vous : si en juillet vous n'avez rien trouvé, vous n'avez plus de RMI."
- "Mais vous n'avez pas le pouvoir de faire ça! Le RMI, c'est la CAF, pas le Pôle Emploi, non?"
- "Je ferai un rapport sur vous."

* L'ANPE Spectacle, en vérité? C'est la Stasi.

* Avec ce summum, tout de même : "Au moins, quand il y aura le RSA, vous verrez : il y aura du mérite. Vous savez, ce sera comme pour les prisonniers, vous aurez des travaux d'intérêt général. Et c'est très bien." Sic, hein, je n'invente rien.

* Pourquoi Juillet d'ailleurs? Parce que le RSA, que mon assistante sociale/conseillère RMI (pas celle de l'ANPE Spectacle, donc, hein, celle de la CAF) redoute comme la peste vu qu'elle n'arrive toujours pas à savoir ce qu'il y a dedans, débarque en Juin. Ca va être sport.

dimanche 8 mars 2009

Have a good trip.

* Je me disais que pour Oliva, Oliva, Peter Hoffman avait forcément dû se souvenir de L'Escale de Guinée, que depuis le film d'Hoffman jamais je n'avais vu de film "en voyage" si beau, peut-être le plus beau qui soit, la VOD à 10 euros pour une compression ultra-merdique (les noirs sont gris pixellisés) de PointLignePlan n'y changeait rien, le film de Franssou Prenant est sublime, voilà, le plus beau film vu depuis une éternité, plus belle écriture entendue depuis une éternité, plus belle voix off que j'aie jamais entendue (je rêve de revoir Oliva, Oliva, à ce propos, si quelqu'un le trouve, de le réévaluer aujourd'hui, de voir si je l'aime toujours autant que je l'idéalise).



* L part en voyage aussi, une semaine nomade, j'espère que ça ne fera pas trop court pour elle, pour son projet, qui est beau et excèdera je l'espère le dossier papier, débordera sur le cinéma.

* Fin de la saison 2 de Mad Men. J'ai du mal à voir ce que pourra apporter une saison 3, signée sur le succès de la série qui était censée s'en tenir là. Et grande série, donc.

* Je revois, en ces temps d'acquisition Final Cut, notre brouillard, à AM et moi, cette matinée-là, ces couleurs-là, mélancolie réelle.

* Et ceci, qui me hante. Et sa suite :

samedi 7 mars 2009

mardi 3 mars 2009

Le goût de la peau.

* Ceci de frappant dans la télévision américaine, dans le cinéma aussi, mais je crois la télévision convient encore davantage, que les corps mêmes des acteurs sont partie prenante du récit et de la mise en scène, voir par exemple la science du casting de Mad Men, l'évolution du corps du personnage de Betty par exemple, jusqu'à l'épisode du stimulateur musculaire, mais ça vaut pour tous, tous ont ce "fit-in", le "connard" comme dit CdZ et sa bouille lacteuse, Joan bien sûr, Roger, Don... (Il faut voir comme Don est méconnaissable dans le flash-back militaire, c'est le même acteur et pourtant il faut se concentrer pour l'y retrouver.) Même principe que l'influence du casting, en tant que corps, dans The Shield, ce que la métamorphose de Chicklis a changé pour la série, ce que le fait d'opter pour Claudette plutôt qu'un homme à ce rôle a pu modifier, etc. Cette adaptation aux corps. "Il est de la même couleur que ses cheveux", lorsque Roger revient de convalescence, le surnom de Joan, "miss oreilles de Mickey" pour Betty...

* Même dans les pires navets, le casting redéfinit les personnages, dans le remake de Vendredi 13, navet cosmique, il y a pourtant cinq belles minutes, et ce sont les minutes du casting, si l'on veut, évidemment tout le passage où l'autre connard, l'espèce de croisement entre Tom Cruise et Jean Sarkozy, baise la blonde, et ne trouve à parler que de ses seins, "tes seins sont parfaits", "les tétons sont exactement au bon endroit", le pire c'est qu'il a raison!

* La seule chose que je sauve de L'Autre par exemple, film à mon sens complètement raté (Jacky me disait du film qu'il est "sooooo 2005!" et c'est tout à fait ça, film démodé avant d'être sorti, c'est dire s'il n'avait rien dans le ventre), c'est ce moment où Dominique Blanc dit "une femme comme moi? Tu veux dire une femme avec des gros yeux?", il n'y a que là, de ce que j'ai vu du film, qu'on sortait du scénario filmé, que les corps prenaient vie.

* Reçu le dernier numéro des Cahiers, numéro 100% frodonien, hilarant si l'on veut, la couverture est sans doute la plus ridicule de l'histoire des couvertures ridicules des Cahiers, à l'intérieur à peu près rien, il faudra qu'on m'explique ce qu'on trouve aux photos cadavériques de Barnier, sinon par nécrophilie, on y apprend juste qu'à l'exposition Depardon/Virilio il y a deux courts inédits de Depardon, j'irai voir ça, je n'en attends pas grand chose bizarrement.

dimanche 1 mars 2009

Old time relijun's minaudages.

* La manière dont Joan danse, même le rock, dans l'épisode 8 de la saison 1 de Mad Men, gestes minuscules, moue minaudante, belette cruelle.