* Des abonnements à supprimer (ça y est, divorce sûr et certain d'avec les Cahiers, à part l'interview du type des Sopranos et vite fait la chronique tellement trop courte de Nicole Brenez, le reste est du déjà mâché, déjà englouti en deux minutes montre en main), des considérations à reprendre, des affaires à vider, des choses à reprendre, du temps qui passe. C'est l'effet ménage de printemps, si on veut.
* Je pars du 4 au 12 chez Simon et Pablo, je sais pas trop ce que je fais de ce blog, il est possible qu'il change, un blog vidéo peut-être. Une série.
mardi 31 mars 2009
Fins de cycles.
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14 commentaires:
Sage décision. Je ne lis plus ce torchon depuis février 1987. Bon débarras.
Je ne vous comprends pas. On a tout fait pour relever le niveau, et vous n'êtes pas content ?
ah bon?
Ça m'a échappé.
Burdeau lit ton blog ? La classe!
Qui c'est Burdeau ?
1er avril, burdeau, blague, sans doute ?
(c'est pas moi toutefois)
Sinon, c'est dommage d'arrêter l'abonnement aux cahiers maintenant. C'est trop tôt ou trop tard. Ces 3 derniers mois, ils n'ont pas été aussi bon depuis 4 ans.
Tu accordes encore du crédit à Brenez toi ? Moi j'ai arrêté en 2006.
Quelqu'un d'autre a décroché de quelque chose ces 20 dernières années et veut nous en faire part ?
Très déçu par ce que je viens de lire sur ce blog que j'adore, j'ai décidé hier soir de quitter la rédaction des Cahiers du cinéma et de donner la priorité à l'écriture et à l'édition, particulièrement à la collection que je dirige au sein des Éditions Capricci, dont le rythme des parutions va aller en s'accélérant dans les prochains mois (à bon entendeur...)
bon il faudrait clarifier : c'était un poisson d'avril c'est ça?
attendez, mais c'est vrai?
"Chers amis, Après cinq ans à ce poste – et treize ans au sein de la revue –, j'ai décidé de quitter la rédaction en chef des Cahiers du cinéma.
Je vais désormais donner la priorité à l'écriture et à l'édition, particulièrement à la collection que je dirige au sein des Éditions Capricci, dont le rythme des parutions va aller en s'accélérant dans les prochains mois.
amitiés,
emmanuel burdeau"
C'est ça, ben cass'toi pauv'con !!!
Burdeau, traître!
I will take the Ring to Mordor.
niquez vos meres tous
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