mercredi 1 octobre 2008

Et Rémi.

* Un mail de N., sur H-F Imbert, le mollusque :

"Je viens de visionner (hier) son film sur "Mes petites amoureuses", qui est un chef d'oeuvre de mollesse, de paresse et de gâchis. Il faudrait inventer pour lui la catégorie de "cinéma passif"..."

* Strictement rien à voir, Kaherk m'a signalé ça par SMS : Pelechian à Bercy. Bon, c'est quand même mieux en salles ou en DVD, hein...

* Ah oui, ça y est, je suis RMIste. À quoi ça mène, le cinéma, hein.

* Oui, bon, bien vu Charles, des fois Meirieu il freestylise et il dit des conneries du genre : "Du côté de l’œuvre d’art, il faut, bien sûr, s’incliner devant la performance : un huis clos, ou presque, magistralement filmé, avec une grande force dans les images, épurées à l’extrême, sans effets inutiles. Il faut insister aussi sur la performance des adolescents qui jouent avec un « naturel » extraordinaire"... Bien fait pour ma gueule.

9 commentaires:

Ihu a dit…

N?

Ihu a dit…

Oui parce que je veux dire... je suis d'accord avec tout ça. Je l'ai vu aussi, ce film.

GM a dit…

Oui, N.

Noony a dit…

Je ne comprends pas. Tu as aimé le film ihu ?

Anonyme a dit…

Le pire, c'est que je serai pas là samedi soir pour la Nuit Blanche, manifestation que j'apprécie beaucoup.

A la place je serai perdu dans la montagne, chez ma mère. Je doute qu'ils instaurent une nuit blanche, et accrochent des installations d'art contemporain sur les vaches du coin.

GM a dit…

hum non Noony, je pense simplement qu'il est d'accord avec N. et qu'il se damnde qui est N. Mais que je lui dirai pas, ou bien en privé éventuellement.

Noony a dit…

C'est trop bien de se déguiser.

Anonyme a dit…

"Un film d'Henri-François Imbert est un peu comme un cours d'eau qui se fraye un passage entre les éléments du paysage, contourne certains d'entre eux pour mieux les observer, mais garde en son coeur une destination qui l'amène indéfectiblement vers l'expérience de la relation à l'autre".

Anonyme a dit…

"le cinéma de Henri-François Imbert propose, loin des agitations et du rythme frénétique des média, une réflexion et une poétique indispensable.

Par sa réflexion sur le cinéma comme outil de mise en relation des êtres, des choses et des temporalités, le cinéma de Henri-François Imbert pose sans cesse la question : qu'est-ce-que faire partie de ce monde ?

Le cinéma de Henri-François Imbert délivre des repères sensoriels qui favorisent une structuration de la représentation, c'est-à-dire par le plaisir des mots des sons et des images, la possibilité de construire un ancrage aux choses. Il nous montre comment s'articulent, dans une topographie, les relations entre les êtres, liant indissociablement destins individuels et collectifs."