* Il faudrait pouvoir rester des mois, à la MIG, à Tréfimétaux, à l'antenne des jeunes, aller voir à Nouzonville aussi si la mini-forge réouverte l'an passé existe encore, etc, etc, mais comme je refuse désormais d'écrire/de travailler seul, refus sans doute définitif, comment bloquer une équipe, si petite soit-elle, des mois durant sans argent? Certes nourris, logés, blanchis, mais...
* C'est une question rhétorique, bien sûr, pas un reproche à AM, Noony et Monsieur Arnaud, qui dans l'aventure sont irréprochables, disons que ce serait une amorce à une réflexion sur la production de documentaires en France, réflexion que je ne suis pas encore suffisamment armé et expérimenté pour mener réellement.
* Bien sûr à notre niveau ça n'a aucun sens, on sait très bien qu'on y va sans argent, sans filet, c'était l'idée d'urgence qui guidait ça aussi, et il y a le pari ensuite de l'éventuelle commission qui entre autres nous paierait (c'est qu'à part Noony on est tous sans emploi, voire comme Monsieur Arnaud sans revenu du tout). Mais le statut des "repérages" en documentaire me semble (de ce que j'en sais et qui reste évidemment à préciser, mon expérience reste rachitique) flou ; et certaine récente discussion avec Jenkoe sur les principes de production documentaire de France Télévision, par exemple, où l'argent est autrement plus présent, m'a laissé à entendre que la phase de repérages n'est que rarement estimée à plus d'une ou deux semaines (dites de préparation). Ce qui, dans la pratique, me semble minuscule.
* En gros je suis comme tout le monde je rêve d'un mécène (et d'un mécène enthousiaste!).
dimanche 14 décembre 2008
Du biff.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire