* How it met your mother et ses excellents acteurs pourraient sans doute faire un Friends moderne pas désagréable (y'en a qui surkiffent), n'étaient ces rires en boîte qui me confisquent le mien, de rire. Et cela, je ne le supporte décidément plus, je n'y arrive plus ; tant pis pour moi, hé, c'est autant de temps de gagné pour voir autre chose.
* M'a en revanche donné envie de revoir cette série anglaise géniale, Spaced (surtout la saison 1) ; tout comme revoir l'autre jour, avec AF, la fin du dernier épisode de la saison 1 de The Office (l'original, of course) (AF m'a montré le début de l'adaptation française, c'était calamiteux au possible) (jamais vu la version US) m'a rappelé que je n'avais jamais vu la 2è, et qu'il faudrait fissa que je m'y remette un de ces jours. Tout comme aux épisodes d'Extra absents du DVD de ma sœur (écrire quelque chose sur Ricky Gervais?).
* Épisode 12 de F&G, vous vous dites que j'élucubrais hier, que c'est pas bien concluant mon affaire, rien qui vous saute aux yeux, ici ? Rien de flagrant quoi ? Et pourtant : épisode autour des regards, des jeux de regards, des champs/contrechamps, des lignes de regard, épisode géométrique encore, ce que le regard capte, à quelle distance le pointeur de garage est efficace? La portée des regards, ce qui sépare... Le reflet impossible du tuba sur la vitre carrée devant laquelle se pâme Seth Rogen, qu'est-ce qu'il regarde? Qu'est-ce qu'il cadre, lui demande-t-on? Et plus tard, quand il mate "tuuuuba giiirrrl" planqué derrière les gradins, vous avez vu son visage ? Oui, c'est bien ça : il est encadré... Oh vous vous dites tout de suite que j'exagère ?...
* "Je peux voir la même chose dehors gratuitement", mais c'est bien devant un écran qu'on s'embrasse.
* J-1. Souhaitez-nous du beau temps! (bordel, on va en avoir besoin...)
mardi 27 mai 2008
Sitcoms.
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7 commentaires:
ah oui, sacrément bien vu sur f&g.
je viens de finir la série à l'instant même, 8 mois après l'avoir commencé. Une page de ma vie se tourne.
Dommage que vous pardonniez tant à un truc comme Gossip Girls (parce que Kuhe kiffe ?), et pas cette simple figure imposée de la sitcom qu'est le rire enregistré, 'faut lutter au début et puis on s'y fait. BOn oui, les trucs british, c'est autre chose, Gervais a tendance à jouer un peu trop le cynisme pour moi (il ne cesse de ridiculiser son perso), beaucoup plus petit malin tout de suite... Extras cependant révèle de belles surprises, Ben Stiller en réalisateur d'un film de guerre misérabiliste, c'était grand.
Ha oui au fait, TUBA GIRL !!!!! Je fonds ! De même pour la copine catho de Lindsay. Deux actrices totalement effacées aujourd'hui (mais deux très belles femmes), dommage.
Bon, faut encore que je me justifie sur Gossip Girl? J'aime parce que j'aime, pas parce que Kuhe aime. Oui, c'est grâce à Zohiloff que j'ai découvert cette série (c'est aussi grâce à lui que j'ai découvert Freak&Geeks, hein), et de fait un grand merci à lui (même si dès la première saison, on sent que ça ne saura pas tenir le choc très longtemps, mais les dix premiers épisodes sont sublimes, c'est déjà énorme).
Gervais, je ne sais pas, je vois ce que vous voulez dire mais je ne suis pas tout à fait d'accord. Un ami, T., lecteur fidèle de ce blog (et dont les toilettes ont déjà été par deux fois citées ici-bas, on y trouve d'horribles magazines torche-cul), qui complètera p-ê, est par exemple tout à fait bouleversé par Gervais dans The Office, tout à fait en empathie, quand il le voit il ne rit jamais de lui, jamais jamais (ce qui ne laisse pas de m'épater, d'ailleurs).
Effectivement, l'épisode que vous citez de Extras est sans doute le plus splendouillet.
'33 : c'est le moment de la revoir!
Bah oui en quelque sorte The Office c'est très très noir. Moi ça me déprimait plus qu'autrechose.
C'est pas calamiteux la version française de The Office!
Ma maigre contribution.
noony, tu blasphèmes : le bureau, c'est un mauvais décalque juste sinistre et plat, beurk.
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