* Je cours partout, je n'ai pas le temps, on dirait le lapin d'Alice. J'aimerais bien vous toucher deux mots de 3h10 pour Yuma, notamment vous parler de Ben Foster, qui en est le seul intérêt - mais de taille.
* Plus tard donc.
* Pourquoi suis-je allé voir 25 minutes de Crimes à Oxford?
* Mail de AM, qui après avoir enfin découvert Society de Yuzna, vient de voir La Course à la mort de l'an 2000 : "Je ne soupçonnais pas que ça puisse être aussi bien, c'est le meilleur film de Stallone ! (bon ok c'est pas forcément représentatif d'une quelconque qualité, je te l'accorde...) Nihiliste comme un bon gros Carpenter, et super efficace. On discutait tout à l'heure sur l'aspect divertissant-diversion, [NDGM: on se disait que celui qui avait inventé cette formule qui invalide toute idée de plaisir au cinéma était forcément un Français] et en voila un bien bel exemple : manier autant humour, noirceur, suspens et politique jusqu'au-boutiste dans une série B pure et dure, ca fait plaisir a voir."
vendredi 4 avril 2008
Death Race 2008.
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4 commentaires:
Tiens, il me dégoute moi Ben Foster, précisément depuis le jour où il a couché avec Oliver dans 6 feet. C'était un bon acteur et du jour au lendemain, hop, perdu. Depuis, il est abonné aux rôles de psychopates actor studio (Otage, Alpha dog, 3h10), tout en overacting, genre "j'ai l'air suffisamment fou quand je'écarquille les yeux comme ça" ?
Beurk. Beurk et en même temps, un truc demeure passionnant chez lui : sa peau. C'est l'acteur américain avec la peau la plus dégueulasse que je connaisse (pire que Kevin Bacon). Et ça c'est pas donné à tout le monde. Et puis toujours cette ambiguité sexuelle...
Je crois que bien dirigé (c'est-à-dire modéré), il pourrait être vraiment bon, mais là il est complaisant;
La course de l'an 2000, ça donne hyper envie de le voir. Et 3h10, je trouve ça pas mal du tout. Pas plus, pas moins. Pour une fois, je préfère ce qu'en dit Positif que Chronicart (VM est aussi très bon dans les cahiers).
J'aime justement cette attraction-répulsion complète que me procure cet acteur. Comme un dégoût de lui-même, vous voyez?
Sinon, bon, moi je n'aime pas du tout Mangold, mais je le connais très mal. Je n'ai pas vu Copland, mais j'avais déjà très très peu goûté son très très fade Walk the line...
La Course à la mort, c'est quelque chose. Et Society, vous l'avez vu?
Personne n'est aujourd'hui très bon aux Cahiers.
oui, oui, je vois.
Mangold n'est pas un très bon réalisateur, et en même temps il n'est jamais très mauvais (de ce que j'ai vu en tout cas). Son seul talent, c'est de savoir diriger les acteurs (Stallone and co dans Copland, Joaquin & Reese dans Walk the line, Bale et Crow dans 3h10 - bons pour la première fois de leur carrière, si j'ose dire). Ce n'est pas rien de savoir diriger les acteurs... Ca me fait penser à la conception antique du réalisateur dans le système des studios : le gars qui dirige les acteurs, et ne sait faire que ça.
Plus personne n'est très bon TOUT le temps aux Cahiers, mais il arrive, encore heureux, qu'il y ait quelques étincelles de talent, parfois.
D'ailleurs, Le Monde se débarrasse des Cahiers, je me demande quel impact ça aura...
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