* Ah tiens la Cinémathèque, qui n'a honte de rien, ose programmer le même jour un Henri-François Imbert et un Gianikian, oui, c'est bien un gros doigt au 2ème.
* Je me tais un peu parce qu'on bosse beaucoup, sur le montage. Il vaut éviter à Passemerveille de virer à l'anecdotique, ce qui le menace, notamment dans sa seconde moitié. J'ai toujours peur du résultat final.
* Le film de F s'est fait laminer.
samedi 14 juin 2008
Jours avec et sans et plus ou moins rien.
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2 commentaires:
C'est magnifique, Henri-François Imbert
Bonjour.
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